mises à jour récentes 2007
Pronostic d'un huit juniors mixte APP aiguebellette Lisez ici comment ce cas particulier peut être reporté aux autres bateaux (pourcentage de vitesse, encadrement de valeurs, mesures)
tenir_compte_du_nouveau_climat.html
Le climat a bien changé, pas seulement la température, et
il serait bien néfaste, voir dangereux de conserver certaines habitudes
horaires liées au climat d'avant 2002. cette page concerne les athlètes
de niveau élevé (performances supérieures à
75% des limites humaines toutes catégories d'âge confondu,
qui sont caractérisés par un fort pourcentage de leur puissance
maximale, en endurance.
trouver_une_coulisse_a_son_q.html
l'écartement des trous par exemple, doit être en face des
os, car si on reste dans le vague, il se peut que dans les vagues alors
on l'ait... dans le Q..
cette histoire de coulisse invite aussi à la hauteur du rameur
par rapport à H20
agoniser sur un ergomètre à cause de la chaleur
recolter_de_la_rondelle.html courbe de vitesse du double TC olympique
quantification_des_volumes_d-entrainement.html
relation_vitesses_bateau_ergo_entrainement.html
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Jean Thevenet par courrier ou téléphonne (non par mail)
(sinon passez par le club)
L'entraînement sportif est une pratique pour la vie. On en sous
estime souvent l'importance. Ici dans cette rubrique, j'ai regroupé
le savoir de base qui est essentiel pour tout sport d'endurance. Cette
base participe à près de 80% du résultat.
Il y a plus important que le simple fait d'être "bon en sport".
Le sport devrait être également un support
- à une activité spirituelle (santé mentale)
- au maintient d'une éthique de vie (somme santé mentale
plus santé physique plus santé sociale)
- à une vie moins détachée de la nature: le sport
étant en principe en contact avec des éléments naturels,
ne serait ce que les réactions de votre corps à l'effort!
C'est une réponse à un manque crucial crée par notre
société de consommation.
- à une recherche d'indépendance vis à vis de
la mécanisation ravageuse de notre planète: le sport rendant
facile, voir agréable la pratique de la locomotion naturelle, ou
de travaux physiques...
La compétition est souvent "viciée" quand on recherche
uniquement à être le meilleur par rapport à d'autre:
cette logique mène à la structure défaillante de notre
société de compétition en des domaines qui sortent
du seul cadre sportif. La compétitivité écrasante
envahi le monde scolaire, le monde du travail, le monde de l'économie,
les outils de transport, les enjeux commerciaux; les rapports sociaux...
Il s'en suit une vie très chère en termes d'écologie
et de ressource qui mène actuellement le monde entier à sa
perte. Une révolution est proche, sinon c'est tout simplement la
fin du monde civilisé, et peut être du monde tout court.
La compétition "pour gagner" mène aux dérives médiatisées: le dopage, les enjeux financiers, les tricheries, et aux ennuis médicaux: "la casse", le sur entraînement, la vieillesse soudaine à 40 ans, le "tout perdu" mental si on n'a pas été le vainqueur (rare un vainqueur, combien de "détruits" pour UN vainqueur?) Le cyclisme proffessionnel et le foot sont les symboles de cette dérive.
C'est différent conçu ainsi:
La compétition pour progresser consiste à prendre des
repères sur soi même, et de se fixer des objectifs sociaux
(engagements), moraux (respect des règles, tacites et officielles),
personnels (maîtrise du mental, respect de la préparation),
et techniques (puissance au seuil, sur 7mn, sur 20mn, vitesse maximale
pour une dépense d'énergie minimale)...
La compétition est ainsi une recherche du "plus économique
possible", en plus de "la puissance maximale", en effet, quand on arrive
aux limites physiologiques (entraînement adapté à ce
qui est possible), on cherche à progresser dans le rendement et
l'organisation du mouvement, et la qualité et réglage du
matériel en cas de sport "biomécanique" (autre donc que la
course à pieds pieds nus)
Tout cela nécéssite "de la tête"...
Pour moi la compétition doit être un tuteur à la
pratique, non pas seulement de la pratique du sport, mais la pratique spirituelle.
La compétition est SURTOUT le révélateur de
vos faiblesses mentales que vous devez rectifier. C'est un "jeu", autant
apprendre là à "se conduire" que dans des situations dangereuses:
le monde du travail ou celui de ses relations de famille, qui pardonne
moins "les erreurs" de comportement, faute de révélateur
immédiat, et brouillé par des enjeu autres que la seule performance
relative.
La compétition est un JEU, pour apprendre la vie... Les adultes
en ont bien besoin dans leur monde trop sérieux. l'erreur? de y
prendre trop au sérieux.
heureusement certains ont encore de l'humour chez nous.
(Fabrice moreau en train de tester l'équilibre d'un skiff)
Pour ce qui est des performances physiques, c'est presque secondaire.
Il convient de vous connaître et de fixer des objectifs en rapport
avec vos possibilités. Le dossier que j'ai regroupé est issu
d'une recherche de limites, et de sa tentative de généralisation.
Il faut connaître SES limites et non pas seulement LES limites humaines,
pour programmer sa progression.
SES limites. Sa puissance "à 100%" donne "l'espoir de temps
réaliste de...", au dessus la barre est trop haute, pas la peine
d'y songer.
Les limites humaines: souvent données, à quelques % près,
par le meilleur athlète de la course. à partir d'un certain
niveau, les athlètes ne se différencient que de quelques
% et ont une relation "mathématique" permettant des comparaisons.
C'est une population étalon qui est precieuse.
- leur puissance au test d'effort étant près des limites,
elle ne varie qu'à peine plus que 3% par an
- leur performance en course est liée mathématiquement
ou presque à la puissance des tests d'effort car ils ont le niveau
technique quasi maximal.
- il y a des athlètes étalons par catégorie de
poids, qui peuvent finir par vous fixer des repères.
Avoir devant vous un athlète de cette catégorie n'est
pas "la malchance de ne pas avoir pu être premier", mais la chance
d'avoir la possibilité de calculer précisément votre
écart minimum possible avec lui, et celui que vous avez effectivement:
cet écart est votre plage de progression "technique" en qualité
de mouvement. Le but du jeu est de trouver sur le terrain, votre performance
mathématiquement espérée à partir de votre
test d'effort. Quand vous arrivez ainsi à votre performance théorique,
vous avez été efficace à 100% et alors, vous avez
fait le maximum: c'est la victoire personnelle. Dans le cas des sports
techniques, on s'aperçoit que la plage de progression en ce domaine
est souvent énorme: il faut gérer, doser, être précis,
avoir un mental bien affuté.
Les "humbles" participent volontiers aux compétitions de très
fort niveau, avec aucun espoir de gagner, ni même d'avoir une place
"honorable"... ils en tirent toujours du savoir, de l'expérience,
une aventure, et un tuteur solide pour la pratique. Souvent, cela leur
profitent, ce qui était impossible devient de moins en moins impossible
et parfois arrive.
notez bien:
Les révélations principales des test d'effort se trouvent
non pas dans les "maximum", mais dans ceux qui sont fait à un pourcentage
sous maximal (par exemple paliers entre 75% et 85% de la fréquence
cardiaque). Ainsi, les paramètres perturbateurs et fortement variable
dues au mental et aux dépassement de la souffrance sont annulés...
et en plus faire un test sous maximal ne coûte pas 15 jours d'entraînement,
l'entraînement bien mesuré fait office de test sous maximal:
vous avez un contrôle continu et en tout cas, quelque chose à
faire de rigoureux qui donne tout son intérêt à l'activité
particulièrement ingrate sinon, les jours de mauvais temps, qui
est oh horreur aller ramer sur une machine de salle...
J'insiste sur ce fait: car bien souvent on veut forcer pour se mesurer...
ça ne sert qu'à dégrader peu à peu sa possibilités
de progression...
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