textes Jean Thevenet

Nous sommes dans le futur. Avant d'imaginer ce qu'est devenu l'aviron, je plante le décor. si vous avez le temps de lire.
L'énergie est devenue précieuse. Le pétrole, rare est réservé à l'aviation militaire, à certains programmes spatiaux; et à la construction des infrastructure (gros engins).
L'usage des énergies fossiles à été interdite mis à part ces cas particuliers à cause de l'effet de serre et de leur stock limités.
Dans l'avenir, il est probable d'obtenir l'énergie à partir de la relation E=MC2 mais son application pratique, notamment à cause de la taille des installations, n'est pas viable encore. Lorsque cette énergie sera maîtrisée elle servira probablement à l'industrie et à certains programmes spatiaux, mais pas probablement ni aux particuliers ni aux transports terrestre, mis à part les transports intercontinentaux ou au delà de 500 km, cela risquerait d'induire une nouvelle phase de sédentarité comme au 20 et 21 eime siècle, période qui en 100 ans seulement a fait des ravages sur notre patrimoine génétique: beaucoup de jeunes encore atteint de cette désadaptation à l'effort n'atteignent pas des performances normales en endurance (30% de moins).
L'énergie issue de la biomasse a une place importante, surtout depuis le retour des chevaux: les chevaux fournissent de l'énergie thermique, mécanique, et de quoi faire de l'énergie grâce à leur fumier.
Le nucléaire a été gelé aussi à cause de l'impossibilité de maîtriser les déchets et la grande peur du milieu du 21 eim siècle. Dois je vous rappeler que la montée des dictatures, après la grande crise écologique des années 2025 a bien failli nous faire sauter à coups de bombes nucléaires?
L'hydroélectricité a été réduite pour rendre vie aux fleuves dont la présence est nécessaire pour la nourriture de la population et l'agriculture. Il a été  démontré qu'un barrage était négatif sur le plan énergétique, car il engendre des dégagements de méthane, et en général, il faut autant d'électricité que le barrage en produit pour fabriquer les engrais que les fleuves donnent naturellement aux cultures. Il subsiste des barrages seulement dans les pays situés à plus de 45° de latitude nord ou sud, certains canaux, mais en général l'eau courante a été rendue à la nature car l'essentiel du débit passe dans les anciens lits naturels, ou des lits reconstitués doublant les canaux. Si on continue à faire passer l'eau dans les canaux et de la turbiner on s'expose trop aux dégagement de méthane et aux frais d'entretien.
L'énergie solaire est produite au moyens de panneaux basés sur la photosynthèse: ce sont des matériaux organiques de synthèse inspirés de la chlorophylle naturelle.
L'énergie électrique produite par les grands centres solaires et les rares usines hydroélectrique est distribué dans un réseau électrique comme au 21 eim siècle, mais la consommation est près de 5% seulement de ce qu'elle fut lors des années de gaspillage, et cette consommation est en fait surtout utilisé pour les industries des métaux et le traitement des matières première.
L'énergie musculaire est devenue une ressource précieuse et assure la majorité des transports. ça fait belle lurette que l'on enseigne comme l'une des matières les plus importante le sport à l'école, et ce environ 4 heures/jours (2 ou 3 autres heures consacrées aux connaissances intellectuelles, plus ne sert à rien car la concentration est moins efficace: il a été démontré d'ailleurs que un programme scolaire immobilisant les enfants sur une chaise plus de 3 h/jours nuisait à la santé de cette population, surtout à long terme).
Un programme de recherche a aboutit sur un programme sportif général dont le but est AVANT TOUT de permettre une puissance importante continue en endurance, l'esprit d'équipe qui motivait le foot est désormais enseigné en aviron, sur route ou sur l'eau: l'avantage est l'apprentissage de la gestion en commun d'un effort, en plus cela sert pour les transports collectifs à propulsion musculaire. L'éclairage des écoles par exemple est alimenté par une partie des cours de sports!
En fait, toute machine d'entraînement en salle produit de l'électricité et si surplus il ya l'envoie dans un réseau au service de la communauté.
L'enjeu est compréhensible: Acquérir l'endurance permet lors des entraînements de produire de l'énergie, ensuite cette aptitude sert aux nouveaux transports à propulsion musculaire tels la vélomobile qui tire son énergie de son utilisateur, en plus de l'appoint de panneaux solaire organiques.

Image: l'ancêtre de nos vélomobiles imaginé déjà, à la fin du 20 eim siècle!!!

La vélomobile utilise moins de 7 w.h/km/personne (caractéristiques de la vélomobile: voir brouillons à http://pourlaterre.free.fr/velo/rendement_energetique-.htm#avenir ), les matheux et les scientifiques auront le soin de vérifier que ça n'a rien d'utopique.
Ce type de voiture possède son infrastructure, ses autoroutes, ses tunnels, c'est la voiture de base. Les autoroutes monstrueuses du 21 eim siècles et ce qui fut certaines grandes nationales sont réservés aux ferroutage et assurent les grandes liaisons: y roulent des parking roulants dessus lequel on se gare avec sa vélomobile. La dépense énergétique moyenne est réduite à 5 watts.heures/km/personne. En région montagneuse nous observons une infrastructure quadrillée: les routes suivent les courbes de niveau, et des plates-formes téléphérique font la liaison entre les niveaux: torrents, panneaux solaires assurent un appoint.

La santé de la population n'a jamais été aussi bonne: il n' ya presque plus de cancers, ceux ci persistent encore à cause des résidus de pesticides et la pollution génétique du 21 eim siècle. Le grand pic de cancers observé en europpe particulièrement était le fait de la pollution par les particules émises par les voitures diesel conduites en sous régime: deux personnes sur 3 mourraient du cancer en 2015, et l'espérance de vie diminuait, fait sans précédent dans l'évolution humaine. Pour des raisons économiques, la toxicité, démontrée depuis 1995 avait été censurée et on accusait le tabac à lui seul d'une telle augmention. L'épidémie de cancers qui se déplaça en Chine et en inde suite à l'adoption des véhicules diesel a révélé à la population le lien. Les problèmes cardio-vasculaires sont pratiquement abolis, le diabète n'existe que très rarement et le système immunitaire est beaucoup plus résistant: il n'y a plus d'épidémie de grippe et le rhume a quasiment disparu. Le renonçement aux énergies fossiles, et l'économie générale ont réduit les particules cancérigènes
 

Le conseil médical a démontré que pour être en accord avec notre code génétique, la dépense calorique moyenne devait être de 10000kcal/semaine soit l'équivalence de fournir, par personne environ 2kw/h d'énergie mécanique par semaine et 6kw/h d'énergie thermique en supplément. Cette énergie est récupérée dans les centres d'entraînement ou utilisée à chaque occasion pour les transports.
Au 21eim siècle, le rapport puissance/poid moyen de la population au seuil d'essoufflement était inférieur à 2 watts/kg, et actuellement il est en dessus de 4w/kg pour les 15- 30 ans et à 2 watts/Kg pour les 70 ans. En fait toute la population a un niveau sportif équivalent à celui des chasseurs cueilleurs des temps préhistoriques ou encore des sportifs de niveaux régional, voir national du 21 eim siècle. Les personnes affaiblies ou handicapées peuvent bénéficier d'une aide motorisée, décidée sur avis médical.

La notion d'effort , le sens écologique et le sens collectif sont apparus au laindemain de la grande crise écologique. Au 20 eim siècle et jusqu'à la fin du 21 eim siècle, il en était tout autrement. Ce qu'on qualifiait de sport était en général une activité physique forçée par une identification à un modèle: être beau, musclé, swelte et vainqueur. Peu de citoyens faisaient ça naturellement, dans un cadre utilitaire associés à des transport. Dans les clubs sportifs, l'émulation de la compétition était le moteur principale, il était la aussi fréquent de le faire pour le but de gagner mais non avec plaisir au temps présent. On pouvait aussi observer des gens non préparés à l'effort physique se mettre à courir au bords des routes ou régnaient, il faut vous le rappeler, des véhicules crachant une pollution néfaste à la santé. Le fait de courir dans de telles conditions paraît incompréhensible, si on oublie qu'à une époque les voitures à pétrole avaient tant et si bien investit l'espace vital qu'on ne pouvaient pas faire autrement: le choix se réduisait à: ou la proximité des voiture ou traverser des propriété privées (les sentiers ne furent réellement restaurés qu'après 2015).
Le sport était pénible, difficile, et coutaît du temps, c'était même "inutile" pour se déplacer! par exemple le contexte permettait rarement d'utiliser un vélo: Les routes étaient souvent inadaptés au vélo, la cohabitation avec les autres véhicules très rapides était difficile et le vélo n'avait pas de place pour être rangé sur votre lieu de travail. Quant au vélo, il n'était pas fonctionnel: il fallait affronter les intempéries et on ne pouvait rien transporter, et les phares étaient innéficaces. Le "grand shift" des années 2025 a compliqué les choses: le gulf stream ne réchauffait plus l'europpe en hiver, et en été les canicules à 43° s'étaient généralisées. curieusement, il a fallu très longtemps pour accepter de vivre la nuit en été et "de remettre les pendules à l'heure" (fait réel, les pendules n'étaient même pas sur le fuseau horaire pour certains pays). Déjà en 2015 la guerre Du Sud avait déclenché une pénurie de moyens, une part croissante de la population devait se contenter de telles conditions: les vélos et les personnes à pieds en dehors du cadre de loisir étaient fréquents et il commença à apparaître des vélomobiles utilitaires ou simplement des vélos utilitaires tirant des remorques. Cette partie de la population vivait en "éjectée du système", créait une économie parallèle de biens et services (y compris des services de transport) et ammorça de grand courants idéologiques.
Pour ceux que la crise n'avait pas encore frappé, Il fallait des motifs très forts pour tenir ses engagements "écologiques" en la pratique si on n'y était pas forcé. Pour ceux qui purent rester dans le système, les motifs, les motivations de faire du sport étaient de retrouver une apparence physique séduisante ou d'ahérer à un modèle social dans lequel on s'assimilait aux idoles, mais aussi de plus en plus la santé. Même parmi les favorisés, une partie croissante de la population ressentait le mal de la sédentarité et voulait y rémédier. là encore, aucune aide en ce domaine. le sport était seulement un loisir comme un autre. Il y avait un culte de la minceur chez les femmes, et un modèle d'homme musclé et jeune chez les hommes. Ces modèles sociaux, curieusement ne pouvaient être réalisés que par certains sportifs, le contexte social ne permettait pas, en temps normal, d'avoir une santé suffisante, et passé 30 ans, le gras s'accumulait sur le bas ventre, le seuil d'essouflement baissait au point de ne pas permettre une simple marche en montagne. Chez les femmes, le culte de la minceur aboutissait non pas à une hausse du métabolisme par l'accroissement de l'activité physique, mais tout au contraire à une baisse du métabolisme du à un régime hypocalorique: sous une apparence physique de bonne santé se cachait généralement un corps anémique et inapte à l'effort.
L'effort, était pénible, contraignant et réalisé en dehors des actes de déplacements: il était rarement quotidien. Il était aussi rare qu'un effort soit fait dans des conditions d'endurance: ce n'était toujours pas enseigné à l'époque et la santé en fait rendait pratiquement impossible un effort performant sans sensation d'essouflement. Lorsqu'on faisait du sport on le faisait intensément: de ce fait, il paraissait inconcevable de devoir fournir des efforts physiques près de 5h/jours comme on le fait actuellement: une telle chose était impossible, physiquement, mentalement, socialement: on n'avait ni les connaissance, ni les les conditions, et même pas les moyens techniques.
Le temps passé au travail plus les trajets en voitures à pétrole, puis les loisires motorisés ou télévisuels prenaient au 21 eim siècle près de 9h par jour, heures durant les quelles on restait assis, souvent immobile! On a estimé la valeur de l'effort conseillé pour "la remise en forme" à 400kcal/semaine en plus du métabolisme minimal: 20 fois moins que le minimum préconisé aujourd'hui! (400kcal équivalent à... une demi heure de TGV!) On croyait à l'époque avoir acquis le confort et s'être libéré par rapport au début de l'ère du charbon, car l'on disposait de moyens d'achats énormes et "de temps libre" et de "confort", on accumulait des tas d'objets techniques, mais en fait l'asservissement était plus subtil. Les loisirs de l'époque étaient asservis par la publicité: on achetait bien souvent pour adhérer à une image inconsciente, alors que l'utilité de l'objet était annexe: c'est très important! c'est ce qui a permi d'atteindre des sommets en terme de gaspillage, car à la fin du 20 eim siècle, et même au début du 21 eim siècle, le rôle principale des vettements (la distinction sociale) fut transféré... à la voiture à pétrole!!!
Les loisirs étaient généralement employés à des activités souvent onéreuses, nécéssitant des moyens techniques et polluants, et qui curieusement fatiguaient le mental. Il est établi maintenant que cette fatigue mentale, étaient provoquée par une non compensation physique, et la notion de ying et de yang, l'affirmait déjà depuis des millénaires. La perte de "sagesse" ne permettait plus de supporter le temps présent. Aussi incroyable que ça puisse paraître, même contempler un même paysage était ennuyeux! Une fois qu'on le connaissait on ne le regardait plus, et on en arrivait à ignorer sa beauté! Ce phénomène étrange a permis d'ignorer ce qui était précieux à proximité de chez soi, donc de ne pas respecter son habitat et le rendre à l'image de sa considération: moche, tout simplement! Cette "impatience empêchait également de faire n'importe quoi qui paraissait monotone. On le sait maintenant, la "laideur" particulière des paysages habités au 20 et 21 eim siècle témoigne d'années de déséquilibre, et de courses après le bonheur matériel en compensation d'avoir perdu le reste... Le mariage du "sport de l'esprit" et du "sport physique" rend désormais possible, et nécéssaire pour l'équilibre mental l'activité quotidienne naturelle et efface l'impatience qui ne permettait pas, au 21 eim siècle, de se contenter d'une vitesse ordinaire et provoquait un comportement à la fois grégaire et individualiste: si à cette époque on avait fait un système allant à 10000km/h,  20mn de trajets séparant 2 continents aurais parues encore... insupportables!!! Le collectivisme aussi rend possible ce qui était immaginable: pour exemple le TGV (le Tube Grande Vitesse, voir plus loin) n'aurait même pas pu fonctionner sans que des disputes se déclenchent durant le voyage.
Il faut aussi rappeller que la précieusité de l'énergie, d'abord idée vague et marginale, fut de plus en plus enseignée et est désormais une notion de base. Elle est concrêtisée par l'adoption d'une monnaie mondiale unique basée sur la valeur de cette énergie. Au 21 eim siècle on achetait 1kw.h pour le prix de 10cm de  de pain: de quoi faire une seule tartine, sans le beurre! désormais 200 w.h valent à peu près 2h du salaire de base. Il en résulte une bonne part de la gratification que l'on tire de chaque acte d'effort physique et une économie basée sur la récupération de l'énergie et la valeur que représente un cheval, et de son fumier qui, véritablement, vaut de l'or!

Les coûts des transports représentaient au 21 eim siècle près de 1/3 du salaire soit l'équivalent de 600 heures de travail, payés en général en frais de voiture à pétrole!!! Il convient d'ajouter les temps de trajets, environ 1h/jour soit 300h par an. et cette dépense était utilisée pour faire une moyenne de 11000km par an, en 900 heure de temps consacré: sur ce critère, l'efficacité des transports au 21 eim siècle était de... 12km/h!!! (et on ne compte pas les frais de réparation écologiques qui firent descendre après 2015 cette "vitesse" à 6km/h: l'efficacité d'un piéton rapide!) On voit bien que l'énergie musculaire, gratuite, ou même calculé sur la base du temps perdu, nous permettant une moyenne de 25km/h, actuellement est plus efficace en terme de rendement!!! L'énergie prise à la nature n'est pas prise en compte dans ce système. Le fonctionnement des écotaxes empêchant un nouveau pillage de la planète a désormais cours. Il est évidemment complexe et serait trop long à détailler ici. On ne prélève plus de l'énergie si celle ci porte atteinte au milieu, ou épuise des ressources non renouvenables, sauf, pour de très rares applications de reconstruction.

Les chevaux
L'agriculture et la plupart des transports collectifs sont effectués par des chevaux. Un cheval fournit en effet 3 kilowatts au moins en endurance, et fabrique aussi l'engrais pour les cultures. Pour atteindre des grandes vitesses sur le plat, certains véhicules propulsés par les chevaux (généralement des trains de ferroutage sur les autoroutes du 21 eim siècle) ne sont pas tirés directement par eux. Les chevaux marchent sur un plan incliné réglable (comme les tapis d'entraînement à la marche) et l'énergie est récupérée pour actionner les roues avec la démultiplication souhaité. Ainsi la vitesse moyenne dépasse 30 km/h) Une locomotive de "20 chevaux" fait donc une puissance moyenne de 20 X 3kw/0.686= 87 chevaux-moteur de puissance moyenne. Des batterie tampons permettent de faire 500 CV pour les démarrages et le franchissement des dénivelés en maintenant une vitesse de 40 km/h sur des pentes de 4 à 5%. Un "train" de 60 tonnes (charge utile 40 à 50 tonnes) dispose donc d'1w/kg moyen ce qui lui permet de rouler à 40 km/h de moyenne, grâce à son rapport poids/aérodynamisme.
Les usines électriques à chevaux fonctionnent sur des principes similaires, les chevaux actionnant des alternateurs.
L'habitat rural est totalement organisé autour des chevaux. Ils assurent également le chauffage. Les progrès en isolation sont tel que la chaleur de 2 ou 3 chevaux rend habitable une ferme en hiver, ou un immeuble logeant 3 familles.
De plus la santé générale de la population et l'utilisation de vêtements conçus scientifiquement font que l'on se contente de chauffer à 13° environ, tout en se sentant en confort. Ainsi, les progrès en isolation, la récupération de la chaleur corporelle et les chevaux passant la nuit au sous sol suffisent à maintenir une température acceptable. Le programme médical a d'ailleurs préconisé d'interdire une température de plus de 17° dans la pièce consacrée au travail intellectuel de la maison, pas seulement pour des raisons d'énergie mais pour éviter les maladies infectieuses.

Quelques transports caractéristiques.
Nous avons déjà vu l'ancètre de nos vélomobiles, qui existe en 2 types:
musculaire seul qui avance à 45km/h de moyenne mais n'est pas rapide en côte puisque le rapport puissance/poids de l'ordre de 3 ne permet que 15km/h sur les côtes à 7%. Il s'est généralisé en plaine seulement, l'avantage étant celui de la simplicité et de la légèreté.
Hybride, musculaire, solaire qui roule TOUJOURS au dessus de 20km/h dans les pentes les plus raides mais ne dépasse pas 35km/h. L'astuce est de stocker l'énergie en excédent, sur le plat, de la récupérer en descente, en freinage. Virtuellement, les réservoirs d'énergie simulent une route toujours plate et une vitesse régulière. Le solaire et le pédalage compensent les seules pertes du à la résisistance de l'air et au rendement non parfait de la récupération d'énergie en descente et freinage. Le réseau vélomobile s'est subitué au réseau des voitures à pétrole: chaque courbe, chaque pente, sont optimisés pour éviter autant que possible les pertes d'énergie.
Les vélorameurs sont plus ludiques et jouent le rôle que jouaient les vélos au 21 eim siècle. Le lieu de pratique sont les portions de routes du 21 eim siècle qui sont conservés pour les véhicules de grande dimenssion.
Le Tube Grande Vitesse existe à 4 en version routière mais est limité par son encombrement à emprunter seulement certaines pistes. Il est une discipline de concours et de jeu et enseigne la conduite du TGV sur rail qui exige de posséder une carte d'abonnement et un permis préalable. Pour posséder cette carte il faut passer un test d'effort régulièrement et sont alors stockés vos paramètres qui serviront a éttaloner votre cadran..
La version sur rail, qui existe en version TGV10, TGV50 et TGV100 (10, 50 et 100 places) s'établie dans les zones d'habitat dispersé mais où existent des grands trajets quotidiens, réguliers, du type ville vers ville ou campagne vers ville. Les routes à TGV sont équipés d'un système à changement de rail espacés de 300m, il ya 4 rails parrallèles (6 dans les zones d'arrêt, les "gares"). Ainsi, les TGV peuvent se comporter comme les vélomobiles sur une route, en cas de fort traffic, ils peuvent se doubler éventuellement, se croiser ou ne pas être bloqué par un TGV à l'arrêt. Les rails sont installés sur ce qui fut certaines routes nationales au 21 eim siècle, une route à TGV environ 12m de large en tout, plus la piste vélomobile. Le TGV peut rouler quand la moitié des sièges sont occupés, il peut ainsi faire des arrêts et prendre d'autres occupants, il joue ainsi un role de taxi collectif sur rail, car à la différence des trains, il peut éventuellement stopper n'importe où pour prendre des passagers entre 2 arrêts: la voie est équipée d'un signal visible de loin, espacés de 200m que on peut déclencher pour demander l'arrêt. Ce cas reste rare, les gens évitent de stopper un TGV et se rendent, sauf urgence aux arrêts convenus espacés de 5 km environ pour les réseaux à TGV 10 places et 20km pour ceux à 50 et 100 places. Un TGV10 alors, à moitié de charge roule sans peine à 70km/h (90 pour les TGV100) et à pleine charge 100km/h (115 pour les TGV100), On s'y installe comme dans une vélomobile, en ligne dans les TGV10 et par groupe de 2 siègnes en TGV50 et TGV100 et on dispose d'un pédalier et d'un tableau de bord équipé d'un lecteur de carte qui contient vos paramètres de votre dernier bilan d'effort. On doit faire coincider son aiguille d'effort (qui tient compte de la lecture de votre carte) avec celle représentant l'effort moyen, il se tient entre 30 et 80% sur une échelle de 0 à 100, le 85 à 100% correspond à la zone rouge à éviter, 75 à 85% n'est pas utilisé plus de quelques minutes et 50 à 75% à la zone verte, pour la vitesse de croisière: l'effort moyen à fournir baisse si on est plus nombreux; ainsi les gens font spontanément ce qu'il faut pour que le TGV ne roule pas trop vide, et ni trop vite ni trop lentement. Une 3 eim aiguille indique l'effort demandé par le conducteur, comme un capitaine les envoyait dans la salle des machine des cargos. Chacun s'accorde sur une même puissance d'effort relatif a ses possibilités, au plus près de la puissance demandée, de l'ordre de 2.5 à 3w/kg, généralement. Le conducteur envoie un signal sonore et demande des variations de puissance en fait seulement pour les dépassements, les démarages ou avant les arrêts (l'inertie est telle que on arrêtte le pédalage parfois 1km avant l'arrêt). sinon, tout le monde est spontanément entre 50 et 75% (endurance douce) et regarde le paysage. La place de conducteur assure la responsabilité du véhicule, de décider des arrêts, des accélérations. Les adolescents adorent ça et affectionnent la conduite du TGV. La forme de tube, très aérodynamique et le rail sont si rentables que ce système, avec une puissance rapporté à son poids de 1 à 2 watts/kg peut atteindre 100km/h. Un système de tampon d'énergie assure, dans certains modèles en zone vallonées, le franchissement des pentes et le non gaspillage en descente.
Mécaniquement, le TGV demande, en énergie, par personne 1 à 1.5 w.h/km contre 5 à 10w.h/km pour les trains du 21 eim siècle et 45w.h/km pour le "TGV" (Train Grande vitesse) qui au 21eim siècle roulait à 300km/h de moyenne, en demandant par contre, par personne, tout de même le tiers en énergie des moyens de transport les plus gaspilleurs de l'époque: voitures à pétrole conduites seul et avion. Seul les trains ordinaires de l'époque, roulant avec 10w.h/km par personne étaient en fait, dans les limite du tolérable énergétique pour un transport tirant son énergie de ressources épuisables. Le vélo non carréné exige, en endurance environ 4w.h/km, la vélomobile 3 et la marche à pied 15. le TGV , avec 1 à 1.5w.h/km est donc le moyen de transport rapide le moins "fatiguant"!!!
 

La vitesse moyenne  des transports
Le rapport vitesse du temps globalement consacré aux frais et à la correction des nuisances a été évalué, pour les transports du 21 eim siècle à une moyenne de 15 km/h environ, et ce sans compter les frais de réparation écologique qui l'on ensuite ramené à 6 km/h seulement pour la voiture individuelle. La voiture du 21 eim siècle exigeait 1 heure de sa vie pour permettre le parcours de 6 km. L'on constate aujourd'hui une moyenne bien supérieure qui se situe à 25 km/h avec la locomotion musculaire individuelle et collective, y compris pour les transports lourds. le TGV cependant traverse des plaines à 100km/h de moyenne!!!
Il fallu une très longue période d'enseignement de la population pour faire admettre la notion de vitesse réelle des transports en incluant le temps passé en plus des temps de trajets pour les assumer. C'est maintenant une des première notion que l'on enseigne à l'école.
Il faut aussi rappeler que au 21 eim siècle, chaque acte social simple nécessitait des distances ahurissantes: on y parcourait parfois près de 100 km/jours avec un véhicule exigeant, pour chaque kilomètre parcouru l'équivalent de 1h30 d'énergie humaine. Nous connaissons maintenant un habitat plus groupé et les services sociaux, culturels ou commerciaux sont toujours à moins de 5 km
Pour se rendre à un continent éloigné, nos arrières grands parents ne disposaient que de 1 ou 2 semaines, et alors, pour se rendre à destination en un seul jour ils utilisaient des avions fusées volant à 900km/h au prix de dépenser en énergie fossille 150w.h/km environ! Parfois il n'y avait même pas le choix: recourir à l'avion était obligatoire pour certaines destinations. Le manque de temps ne laissait pas le loisir d'essayer autre chose. Maintenant nous savons, et nous pouvons patienter 6 ou 7 jours à bors d'hydroptères géants dont un prototype avait vu le jour lors d'une course de voiliers marquant l'entrée du millénaire! (Les hydroptères croisent à 50 noeuds).

Le gaspillage du 21 eim siècle
Il a été évalué que les moyens de transport de l'époque du 21 eim siècle équivalaient à l'énergie du métabolisme moyen pour la population dont la dépense calorique aurait été celle de parcourir 350 km/jour à pieds, 1000 km/jours en vélo ou même 2000 à 3000 km/jour avec nos vélomobiles. L'énergie et les ressources pour une seule personne, dans un tel système équivalaient à celle de 10 personne d'aujourd'hui, et c'est en partie le fait de tirer cette énergie de ressources épuisables qui ont précipité la crise (les ressources renouvenables n'auraient de toute façon pas suffit!).
C'est pourquoi la crise écologique a été inévitable: le mode de vie occidental s'étant généralisé, à une population de 5 milliards d'habitant, c'est comme si on était 50 milliards sur la planète! Or nous savons que la terre ne pouvait pas porter plus de 15 milliards d'humains sur la base de leur seuls besoins énergétiques vitaux: pour évaluer ces besoins, l'énergie est calculée en possibilité de production de la biomasse, qui d'ailleurs a été atténuée grandement. Nous subiront durant des millénaires encore les séquelles de la grande crise écologique: la biomasse produit moins d'énergie car les seulement 20 pour cent des espèces végétales et animales ont survécu! et on ne peut pas dépasser alors, désormais une population de 8 milliards. Nous savons aussi maintenant que si on dégrade le métabolisme moyen on n'économise par d'énergie: on tombe dans la sédentarité, un symptôme grave exposant aux problèmes cardio-vasculaire et à l'incapacité de se déplacer, d'où l'utilisation de source d'énergie moins rentables. Au 21 eim siècle un jeune de 20 ans n'avait, en général même pas les possibilités de transport musculaire qu'un septuagénaire. seul des sportifs disposaient de capacité normales, mais il ne les utilisaient nullement pour se déplacer, et représentaient même pas 1 pour cent de la population

Un des sports cultes de notre société est l'aviron.
L'aviron, jadis sport réservé a une élite est quasiment le sport "national". Ce goût pour l'aviron s'explique par la généralisation des machines à ramer, moyen de s'entraîner actuellement répandus dans toutes les écoles, les habitations, qui sert pour produire aussi son électricité d'appoint.
L'aviron a une popularité comparable à celle que connurent le vélo vers 1900 ou la course à pieds, pour la simple raison que ramer est en général quotidien pour produire de l'énergie et son hygiène. Le fait de ramer sur l'eau est un plaisir dominical en vogue.
La préférence pour l'aviron est aussi d'ordre "médical": On produit de l'énergie en ramant pour éviter de favoriser un seul groupe musculaire. On ne pédale en fait que pour les transports en vélomobile.
La méditation de la concentration, elle aussi enseignée à l'école se trouve appliquée dans la technique de l'aviron, c'est devenu en fait une manière de pratiquer répandue que celle qui consiste à perfectionner le mouvement rythmique du "planter de pelles" à l'aide de la concentration. Ce qui est particulier est, en plus de pratiquer la méditation de l'intention continue pour synchroniser un groupe. L'aviron exigeait depuis la fin du 18 eim siècle, spontanément ces attitudes mentales, sans que pourtant on utilise la méditation en cette occasion (on ne savait même pas ce qu'était la méditation en dehors du yoga et des ordres religieux!!!).
Il s'est avéré ainsi que l'aviron enseigne à la fois la méditation de la concentration  et l'esprit d'équipe (l'attention vis à vis des autres), comme la marche en solitaire sert de support pour la médition dite de la "pleine conscience" parfois appelée vision pénétrante en raison des facultés de prescience qu'elle permet! Les équipage à deux sont particuliers: les échanges qui se font lors de l'intention vis à vis de l'autre permettent de se connaitre rapidement sans avoir à se parler: les réponses de synchronisation que l'un reçoit de l'autre à travers la ramerie révèlent les traits de caractères principaux: ramer à deux est un acte devenu social "ramons ensemble pour que l'on se connaisse" est une pratique qui au 21 eim siècle était "viens boire un coup qu'on discute".
En général chaque grande ville possède une rivière pour pratiquer. Dans les pays ou il n'y a pas d'eau on pratique l'aviron sur route, et on y fait des courses au moyens de véhicules roulants mus à la rame.
Ces véhicules servent également pour la sortie collective en famille...

Les clubs d'aviron sont des grands producteurs d'électricité. En général cette énergie, récupérée lors des entraînement sert à propulser des catamaran des entraîneurs. le surplus va au réseau collectif.
Chaque école a son club d'aviron. Pas toutes ont des bateaux. ça dépend de la proximité de l'eau, mais par contre le vélo rameur est très répandu et sert de plus en plus de moyen de transport.

Il ya la place sur les énormes routes du 21 eim siècles reconverties en boulevards. On y roule avec des voiture à rame de 4, ou 8 ou plus de places. Déjà le 21 eim siècle avait accouché de prototypes, qui à l'époque n'étaient pas encore carénés et inconfortables en hiver quand il pleut. On remarque cependant une nette similitude avec nos transports collectifs scolaires et nos véhicules de week end.

ha que c'est beau de rêver...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

annexe.

La spiritualité.
Il semble finalement que l'invasion de la chine par le tibet soit l'évenement historique qui a permis l'accession "prématurée" à la spiritualité de notre société à temps, et sauvé notre monde: les techniques boudhistes de méditation on en effet été adoptée et adapté aux occidentaux et servent maintenant à guider les scientifiques comme chacun de nous dans nos actes. C'est pour cela que il est maintenant possible de gérer la planète.
latente depuis 1950 environ, amorcçée par la physique quantique la spiritualité se concrétisa au milieu du 21 eim siècle. Il y'eu des remarquables échanges entre les chercheurs spirituels et les scientifiques, qui aboutirent à des conclusions similaires sur certains fondements de la matière et les conséquence de nos actes.
L'absence de spiritualité mais la puissance de la science avait  aboutit a un comportement aveugle et dangereux, un comportement préhistorique avec la puissance de la science. L'absence de curiosité dont faisait preuve le commun des citoyens pour toute chose ne concernant que de loin ses intérêts faisait le reste: laisser mourir des gens de faim pour le pouvoir d'un chef d'état (en général en Afrique), fabriquer des plantes trangéniques dans le but de détenir un brevet et de l'exploiter, quitte à créer la faillite des paysans de l'inde (L'Amérique)... prenez vos livres d'histoire, la liste est longue. La crise écologique était la conséquence directe de cette mauvaise gestion. Les notions d'harmonie, de bon sens, d'intuition n'étaient jamais pris en compte, en tant qu'argument pour défendre un site naturel, une population: ils étaient qualifiées d'irréalistes ou d'un terme plus définitif: non viable économiquement. Ainsi, on n'attribuait pas de valeur à des forêts, des paysages... pas des valeurs offiçielles, il fallait en découvrir et les calculer, en terme d'économie, avant de pouvoir faire quelquonque démarche pour protéger ce que la nature nous donnait!
Une des notions les plus étranges de cette époque était la notion de "croissance économique". Ce système ne peut tourner qu'en "croissant". Il est évident que l'on ne peut croître éternellement: aussi haute que soit la montagne vous arrivez à un sommet, qu'arrive t'il alors si on se sait que monter? on se laisse tomber non sans mal et puis on regrimpe! tel était le fonctionnement de la société au début du millénaire. C'était les guerres et les catastrophes qui servaient ainsi à redescendre, pour ensuite perdurer dans ce système basé sur la croissance. La croissance était en fait le mécanisme des guerres du 21 eim siècle, en profondeur, elles étaient nécéssaires à la santé du système économique. D'une façon assez tacite, les autorités de l'époque qui n'étaient pas les chefs gouvernementaux mais les détenteurs des forces économiques, entretenaient des conditions propices à la non méditation. Il n'y avait véritablement pas une seule minute par jour qui lui soit consacrée, mis à part dans quelques centres d'étude tibétaines, et ordres religieux catholiques. L'association de telles pratiques à des rites religieux a bloqué un temps sa généralisation, justement car elle prenait encore plus de temps et par ce que, sur le plan culturel elle était apporté artificiellement (une culture établie depuis des millénaires ne s'implante pas comme cela dans une autre société!)  en fait, si certains y adhéraient, c'était "pour se faire cinéma" à eux même et être "à la mode", adhérer... à une image illusoire de soi même, à un idéal, c'est à dire exactement la démarche inverse de ce que il y était enseigné!). Pour l'occident il fallait établir la spiritulité "laïque" pour éviter ce conflit de culture. Le support de la spiritualité n'est donc pas actuellement des rites religieux, mais l'activité physique associée à la méditation qui a permis les transports à l'énergie musculaire et la possibilité de supporter la solitude et le temps
Ha! ne pas oublier: la notion d'interdépendance n'était pas assimilée. Cette loi de base qui explique que la destruction d'un fleuve en europe peut participer à la famine en égypte n'apparaissait que par hasard dans des calculs des super ordinateurs si on introduisait (presque) TOUS les paramètres, or il est impossible de connaitre tous les paramètres (effet papillon: un papillon en australie suffit pour rendre imprévisible un cyclone à La Réunion). Ce n'était ni plus ni moins que le pillage de la planète avec destruction totale à la clefs si le processus arrivait à son terme. Cela paraît inimaginable aujourd'hui avec la généralisation du comportement basique qui consiste à avoir conscience en priorité, pour chacun de ses actes des conséquences profondes, à long terme et pour la communeauté, en tenant intituivement compte de l'interdépendance (qui nous relie tous). On ne fera plus manger de la viande issue de déchets de cadavres à des herbivores... ça ne se fait pas: pas de crainte qu'un concurrent le fasse et vendent à votre place, si ça ne se fait pas, il ne le fera pas...
Ne pas avoir eu la spiritualité à temps, pour l'espèce humaine signifait tout simplement disparaître. On immaginait même comme suite logique des évènements de vivre sur une planète comparable à Vénus, sous terre, et de tirer nos matières organiques de syntèse, matière vitale, à partir de la matière inerte. Un tel plan aurait de toute façon nécéssité la spiritualité pour une cordination suffisante permettant d'arriver à une telle prouesse et à la vie sans guerre meurtrière dans des conditions si diffiçiles. Mais la grande crise écologique n'a heureusement pas permis le grand bouleversement climatique majeur qui devait être du à l'excès brutal de vapeur d'eau dans l'atmosphère qui menacait déjà (conséquence de l'effet de serre et des fuites d'hydrogène des usines pour les voitures à pile à combustible).